Elle n’était vraiment pas obligée de faire ce qu’elle a fait. Elle aurait pu rester dans la promotion du luxe: elle s’est mise à faire la promotion de la vérité sur les guerres, quoi qu’il en coûte. Reste la satisfaction d’une vie intègre et d’une trajectoire exemplaire.
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.