Nous parlions la semaine dernière de l’hybris, autrement dit de la démesure, qui fait que l’être humain est parfois tenté d’outrepasser certaines limites. Il résiste ou non à cette tentation, mais quand il y cède, il finit toujours un jour ou l’autre par le regretter. On le voit dans tous les domaines. Parlons un peu aujourd’hui du féminisme.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.