En rendant hommage à ce grand essayiste, musicologue et éditeur, Éric Werner nous retrace tout l’historique de la pensée antitotalitaire en France. Dont Liébert aura été l’un des piliers, jusqu’à son travail pour le livre capital d’Emmanuel Todd, «La défaite de l’Occident».
Ce que la Guerre froide nous cachait
En ce temps-là, Éric Werner était antisoviétique, voire atlantiste. Comme Raymond Aron, comme Camus. Et, dans leur époque, ils avaient raison: la liberté était bien «ici». Comment auraient-il pu deviner la vilaine plaisanterie que l’histoire allait leur jouer?