De toutes les tyrannies, la tyrannie exercée pour le bien de ses victimes est peut-être la plus oppressante. Il vaudrait mieux vivre sous des barons du crime que sous des fouineurs moraux tout-puissants. La cruauté du baron du crime peut parfois s’assoupir, sa cupidité peut à un certain moment être rassasiée; mais ceux qui nous tourmentent pour notre propre bénéfice le feront indéfiniment, car ils le font avec la bénédiction de leur conscience. — C. S. Lewis. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.