Je suis convaincu de ne pas être le seul que la fièvre présidentielle française a conduit au bord de l’exaspération. Il me semble donc utile et même nécessaire d’élargir les horizons, ce qui était du reste dès le premier jours la mission de l’Antipresse.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.