«On dit que l’internet offre une alternative, et ce qui est merveilleux avec les esprits rebelles sur le web, c’est qu’ils font souvent le travail que les journalistes devraient faire. Ce sont des dissidents dans la tradition des trublions tels que Claud Cockburn, qui a dit : “Il ne faut croire en rien avant que ce ne soit officiellement démenti”. Mais l’internet est toujours une sorte de samizdat, un underground, et la majorité de l’humanité n’est pas connectée, tout comme la plupart ne possèdent pas de téléphone portable. Mais le droit de savoir devrait être universel. Tom Paine, autre grand trublion, a averti que si la majorité des gens se voyaient privés de vérité, il serait alors temps de prendre d’assaut ce qu’il appelait la “Bastille des mots”. Ce temps est arrivé. — John Pilger, grand reporter, avril 2006. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous […]
Les heures dorées de Florence (2)
Rien n’est donné, tout est à conquérir, et l’aspiration au sublime est ce qu’il nous est permis d’éprouver à Florence: le temps s’y est arrêté sur le bon goût, le beau «universel et sans concept», comme le dira plus tard Emmanuel Kant.