«Non seulement j’ai la fibre écologiste, mais je ne comprends pas pourquoi la droite ne s’empare pas du sujet de l’écologie. L’écologie est profondément une attitude de droite. Car qu’est-ce que la mission de la droite, si ce n’est l’enracinement, la préservation de nos paysages intimes? Comment la droite peut-elle défendre le glyphosate? Dans mon livre Quand les abeilles meurent, les jours de l’homme sont comptés, je militais pour l’interdiction du Gaucho et du Régent, deux insecticides ultra-puissants tueurs d’abeilles. A l’époque toute la droite était contre moi. La droite pense qu’on ne peut pas défendre en même temps la liberté du marché et l’écologie. Je suis pour la liberté d’entreprendre, le Puy-du-Fou en est la preuve, mais aussi pour la préservation des écosystèmes. Le drame de la droite, c’est qu’elle a abandonné la culture, l’éducation et l’écologie à la gauche.» — Philippe de Villiers, FigaroVox, 12.12.2017. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse […]
La France a trouvé un stratagème pour envoyer ses militaires en Ukraine
Les sociétés de sécurité privées en France ne datent pas d’hier, mais le gouvernement vient discrètement de leur affecter un rôle très différent dans le contexte du conflit ukrainien. Les médias français s’étant très peu intéressés à la question, nous reproduisons ici une analyse russe qui montre que tout le monde n’est pas dupe. Avec, en prime, un «in cauda venenum» comme disaient les Latins…

