«Ce n’est que dans ses phrases éparses et contradictoires que l’homme parvient à se rassembler, à devenir entier sans perdre l’essentiel, à se répéter, à se respirer, à expérimenter ses gestes, à fonder son accent, à essayer ses masques, à craindre ses vérités, à découvrir des vérités dans les fumées de ses mensonges, à se fâcher à mort et à disparaître rajeuni.» — Elias Canetti, Le livre contre la mort, éd. Albin Michel. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.