« Soit ils finissent par devenir soûlards, soit, pour une dizaine de roubles, ils abandonnent tout et filent en Amérique, fût-ce sans un sou, pour y “découvrir la liberté du travail dans un pays libre”… Et puis là-bas, en Amérique, un ignoble entrepreneur les exploite sauvagement, il les vole, il les rosse même, et eux, à chaque coup, ils soupirent de bonheur : “Dieu, comme ces coups sont cruels et rétrogrades chez nous, et comme ils sont nobles, agréables et libéraux ici !” » — Dostoïevski, Journal d’un écrivain, an 1873. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
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