Matthias Reynard, conseiller d’État valaisan, espérait se faire un coup de pub bon marché en exhibant l’arrosoir des subventions culturelles. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il en a été pour ses frais. Ou l’art de gâcher un million en fâchant tout le monde.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»