Après avoir enseigné la philosophie à l’Université de Genève et écrit une série de livres dérangeants, Éric Werner est devenu chroniqueur à l’Antipresse, précis et régulier comme un métronome. Voici en quelques mots ce qui le motive.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…