Les partisans d’un schmilblick se lamentent du manque d’information dont souffriraient les peuples, leurs médias et leurs dirigeants. Pourtant il en va exactement de même pour les opposants à ce même schmilblick. Cela signifie que chacun veut croire que son information est meilleure, plus honnête et plus pertinente que celle de l’autre.
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.