Enfumages
Sur le déferlement totalitaire (3)
Il faudrait ici réfléchir sur ce que peut faire l’individu: chaque individu, en fait. C’est le grain de sable dans la machine.
Sur le déferlement totalitaire (2)
Le tyrannicide est permis et même recommandé. Mais comment faire quand l’oppression est sans tête, quand elle prend le visage d’un système, de votre environnement de vie lui-même? Un peu de réflexion tactique et pratique s’impose.
Sur le déferlement totalitaire
Il se répète en permanence que nous sommes en démocratie, «le pire système à l’exclusion de tous les autres», comme le disait, on le sait, Churchill. Mais est-ce bien le cas? Sommes-nous *réellement*, comme on le prétend, en démocratie? Oublions un instant ce qui se répète autour de nous et ouvrons les yeux. Simplement cela.
Contre qui se battent les partisans? (2)
Déferlement, invasion, corruption, implosion… Les structures qui nous protégeaient s’effondrent. L’État défaillant nous menace dans nos libertés et nos vies. Quels choix nous restent-ils? Carl Schmitt et Ernst Jünger se le sont demandé sur les décombres du XXe siècle.
Contre qui se battent les partisans?
Eric Werner se référait la semaine dernière à l’un des tout derniers livres de Carl Schmitt, sa *Théorie du partisan*. Il revient aujourd’hui sur ce livre, pour tenter de dégager les enseignements qu’il peut nous apporter sur notre temps.
La politique, une religion de plus?
La société moderne, selon Carl Schmitt, apparaît comme une prolongation de l’ancienne théocratie catholique, où l’État se serait simplement substitué à Dieu. En ce sens, nous ne sommes pas débarrassés de la religion. On pourrait même penser que nous y sommes plongés jusqu’au cou. Avec quelles conséquences?
De la dissuasion à l’empire total: les États-Unis à la croisée (3)
L’Empire est peut-être affaibli et malade: il ne renonce pas pour autant à ses fins. Leur réalisation présuppose une «table rase». C’est pourquoi, entre autres, il a développé une idéologie de l’annihilation qui est l’équivalent sociétal de l’arme nucléaire.
De la dissuasion à l’Empire total: les États-Unis à la croisée (2)
La culture de l’éradication qui nous vient d’Amérique ne s’arrête pas à la culture, elle imprègne également la nouvelle pensée stratégique américaine, qui semble désormais ralliée à l’idée selon laquelle une éventuelle guerre nucléaire pourrait, le cas échéant, se révéler utile pour régler un certain nombre de problèmes en lien avec la préservation et/ou le parachèvement du Nouvel Ordre Mondial. En ce sens, le comportement actuel des États-Unis se reflète mieux, semble-t-il, dans les commentaires sur la fin des temps que dans les études géopolitiques.
De la dissuasion à l’Empire total: Les États-Unis à la croisée
De Kennedy à Biden, l’évolution de la pensée stratégique américaine ressemble à une régression émotionnelle. Le potentiel de destruction, lui, n’a pas régressé. L’ex-maître du monde ne veut pas admettre que son hégémonie est terminée, et il est prêt à tout pour essayer de la restaurer. Jusqu’à risquer la confrontation finale.