Enfumages
Majorités acceptantes, minorités récalcitrantes
Une majorité qui obéit, une minorité qui se rebiffe: dans les moments de crise, c’est toujours ainsi que l’humanité se répartit. Un roman de Jean Raspail en donne une illustration visionnaire.
L’anti-haine, vingt-quatre heures sur vingt-quatre
Sans même savoir à quel point, nous sommes tous chargés de haine. Nos éducateurs se chargent désormais de nous mettre sur le droit chemin. Partout et sans cesse. A quoi cela nous conduit-il? Probablement pas à l’amour universel…
Le vote, à quoi bon?
Oui, vous avez toujours la possibilité de refuser. De dire votre désaccord. De ruer dans les brancards. Mais cela servira-t-il à quelque chose? La question n’est pas nouvelle, les réponses pourraient l’être.
Exil, mode d’emploi
L’expérience de l’effondrement nous confronte à une possibilité qui n’est que très rarement pensée par l’être humain: celle d’avoir un jour à tout quitter, à tout abandonner. Possibilité magnifiquement explorée par Ernst Jünger
Les anti-fêtes totalitaires
On voit aujourd’hui les crises se succéder les unes aux autres: hier le Coronavirus, aujourd’hui la révolution noire, demain, peut-être, l’effondrement de toute l’économie. Qui ne se rend compte que leur succession ne relève pas d’un simple hasard?
Le monde en noir et blanc
La vague d’horreur soulevée — à juste titre — par la mise à mort de George Floyd est fortement «racialisée» et monte les sociétés contre elles-mêmes. Cela nous aide à oublier cette réalité qui recouvre tout le champ de bataille: que la violence policière n’a pas de couleur!
Sur la «nouvelle normalité»
Ce n’est pas durant les périodes ordinaires, mais bien dans les temps extraordinaires qu’on apprend à penser politiquement. Car les intentions et les actes y apparaissent dans toute leur évidence et leur nudité. Aujourd’hui comme hier.
Subir, ne pas subir: l’éventail des possibles
À force d’avoir trop subi, il arrive que les gueux se révoltent. Ces soulèvements sont généralement écrasés sans cérémonie. Mais il existe d’autres formes d’insurrection. L’art de traîner les pieds pourrait redevenir d’actualité, par les temps qui courent…
Pandémie: pourquoi ces choix?
Le Covid-19 a, certes, une composante biologique, mais une autre, au moins aussi importante, sociale et politique. Qui plus est, ces deux composantes sont indémêlables l’une de l’autre.