La fièvre des élections européennes étant retombée, le moment paraît propice pour publier un entretien de fond sur la construction d’un mirage avec celui qui restera comme le grand avocat incompris du «Frexit».
Ce que la Guerre froide nous cachait
En ce temps-là, Éric Werner était antisoviétique, voire atlantiste. Comme Raymond Aron, comme Camus. Et, dans leur époque, ils avaient raison: la liberté était bien «ici». Comment auraient-il pu deviner la vilaine plaisanterie que l’histoire allait leur jouer?