Blaise Rossellat est un entrepreneur atypique. Après avoir suivi une filière technique à l’Ecole d’ingénieurs de Genève, poussé par l’esprit de découverte et l’envie de s’exprimer, il accomplit une formation de polygraphe dans une imprimerie genevoise. En 1996, à l’âge de 19 ans, il crée une société en nom collectif dans les arts graphiques, l’édition et l’informatique. En 2009, il fonde Starlac SA et se lance dans le développement durable en modélisant une approche énergétique révolutionnaire et innovante. En mars 2013, il inaugure Starlac Energy SA pour appliquer son concept zéro carbone au sein de la société civile et tenter de persuader les politiques, les propriétaires et les promoteurs immobiliers de suivre les bons choix énergétiques et financiers. Ces derniers temps, Blaise s’est illustré par son soutien à des initiatives novatrices comme celle du RBI ou Monnaie pleine — mais aussi par les questions très incongrues qu’il pose au système […]
Des tribunaux en guerre contre l’intelligible
Pour avoir rappelé une évidence biologique, un humble réparateur d’instruments de musique finit au trou. Cela ne se passe pas dans l’URSS du temps de Soljenitsyne, mais dans l’Helvétie du XXIe siècle. Après le cas Soral, l’affaire Brünisholz confirme l’instauration d’une «variante alpine du soviétisme». Dont les conséquences pour l’édifice juridique sont cataclysmiques.