Quand on évoque les bouleversements climatiques à venir, on les associe volontiers à la fin des temps, ou encore à la fin de l’espèce humaine. C’est très exagéré.
La modernité en devenir
L’avantage de cette passe brutale et ahurissante que nous vivons, c’est qu’elle étale la réalité toute nue devant nos yeux. On est obligé de voir ce qu’on voit. Or ce qu’on voit semble surtout donner raison à Hannah Arendt.