Il n’y a pas de hasard, même quand on s’appelle Samuel Hazard, qu’on est maire de Verdun et qu’on a l’idée loufoque de convier un rappeur *black* pour fêter — pardon : commémorer — le centenaire de la plus funeste bataille de tous les temps.
Il n’y pas de hasard chez Hazard, mais il y a du danger (*hazard* en anglais). Un danger dont M. Hazard et ceux de sa coterie dirigeante n’avaient peut-être pas conscience et qui a abouti à l’annulation de leur *happening*.
Comment nommer l’innommable?
L’évocation d’une restauration du nazisme dans les pays baltes dans un débat de la Radio suisse romande m’a valu de vives attaques dans pratiquement tous les médias suisses de langue française. Il est intéressant de se demander pourquoi.