Il n’y a pas de hasard, même quand on s’appelle Samuel Hazard, qu’on est maire de Verdun et qu’on a l’idée loufoque de convier un rappeur *black* pour fêter — pardon : commémorer — le centenaire de la plus funeste bataille de tous les temps.
Il n’y pas de hasard chez Hazard, mais il y a du danger (*hazard* en anglais). Un danger dont M. Hazard et ceux de sa coterie dirigeante n’avaient peut-être pas conscience et qui a abouti à l’annulation de leur *happening*.
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.