Nous vous l’annonçons depuis plusieurs semaines: l’Antipresse va changer en profondeur dès son centième numéro. Il me paraît utile, avec un peu d’avance, de décrire le but que nous voulons atteindre et les raisons qui nous y mènent.
Ne pas se taire!
En se rapprochant à tout vent de l’Union européenne, les Suisses semblent absolument vouloir être les derniers à grimper sur le «Titanic» avant qu’on tire l’échelle. Savent-ils tout ce qu’implique ce ticket? Il ne semble pas. En a-t-on débattu? Non. C’est donc le moment de parler, fût-ce dans le désert. Dire ce que ce pays pourrait faire pour sa survie plutôt que pour sa dissolution.

