Les difficultés de la presse sont graves. Peut-être même sont-elles insurmontables. Mais cela ne devrait pas nous conduire à tout accepter, y compris la mise sous tutelle étatique de l’information, avec à la clé l’imposition de vérités d’État.
Qui est l’ennemi prioritaire?
On ne peut pas aujourd’hui «penser la guerre» (Raymond Aron) sans remonter à Clausewitz. Sauf que Clausewitz est surtout aujourd’hui un point de comparaison. En deux cents ans, le phénomène guerre s’est beaucoup transformé, de même que (plus important encore) notre propre approche du phénomène.