Dans ce récit crépusculaire, la finesse et la mélancolie de l’univers centré sur George Smiley vous enveloppent et vous imprègnent comme un crachin anglais.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.