Jan Marejko est mort. Je l’ai appris par un mail d’un ami suisse qui avait reçu le mail d’un ami allemand. Lequel Allemand le tenait d’un prêtre genevois qui avait été son dernier confident.
Pères de France
Ce portrait qu’un écrivain français traça de son père, vers la fin du siècle dernier, serait probablement étudié de nos jours dans des colloques de psychiatrie. Oui, en effet, c’était un monstre. Mais à force de pathologiser les excès des grands caractères — et donc aussi leur grandeur — nous finirons par fabriquer des non-entités auxquelles personne n’aura l’idée de consacrer un livre.