Tout auréolé de son titre de meilleur chef du monde, décerné par *La Liste*, réponse française — un peu moins prestigieuse — au fameux *50 Best Restaurants*, Benoît Violier a mis fin à ses jours il y a une semaine, sans que personne n’ait vraiment une explication convaincante à ce drame.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.