La ministre suisse de la Défense vient d’annoncer sa démission. Ce n’est un «coup de tonnerre», selon l’expression des médias du système, que si l’on considère que l’incompétence et la dilapidation de l’argent du contribuable ne sont pas des fautes professionnelles au plus haut niveau de l’exécutif.
Des tribunaux en guerre contre l’intelligible
Pour avoir rappelé une évidence biologique, un humble réparateur d’instruments de musique finit au trou. Cela ne se passe pas dans l’URSS du temps de Soljenitsyne, mais dans l’Helvétie du XXIe siècle. Après le cas Soral, l’affaire Brünisholz confirme l’instauration d’une «variante alpine du soviétisme». Dont les conséquences pour l’édifice juridique sont cataclysmiques.

