Le journal de Coronafoirus, livre de bord de la dystopie covidéologique, approche de son premier anniversaire. En faisant le bilan de la plus étrange année de nos vies, j’ai essayé d’en comprendre le fil rouge. Tiendrait-il dans ce projet qui se mord la queue: des hommes qui essaieraient d’abolir l’humain en eux?
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.