De deux choses l’une: soit la gestion en tous points catastrophique de la crise du Covid-19 est un signe d’abrutissement terminal des élites dirigeantes de la planète, soit elle correspond à une intention perverse où «le pire est le mieux». Dans une conférence d’une demi-heure, Ernst Wolff documente la piste d’un naufrage délibéré de l’économie mondiale, en d’autres termes de l’accomplissement du «Grand Reset» tel que décrit et voulu en toutes lettres par le WEF de Davos.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.