Les États-Unis d’Amérique sont devenus un embarras pour la communauté humaine. Leurs dirigeants émettent des paroles sans queue ni tête, tout en poussant le monde au bord de l’anéantissement. Leurs satellites européens, personnel de maison bien dressé, font mine de ne rien remarquer. La musique du Jour dernier sera-t-elle faite de babillage sénile?
A qui profite la paix en Ukraine?
Ou plutôt: à qui profite la poursuite d’une guerre déjà perdue? C’est la question qui continue de résonner après les spectaculaires sommets et discussions de «paix» de ces derniers jours. Si elles ne laissent entrevoir aucune perspective d’apaisement concrète du conflit, ces agitations en disent long, en revanche, sur l’état moral et psychique de nos propres dirigeants.