La France est morte parce qu’on l’a tuée. On l’a déshonorée, on l’a abrutie, on l’a fait dépérir en la privant de ce qui la nourrissait. Ses intellectuels et ses prêtres l’ont trahie, et l’ont livrée à des usuriers et à des technocrates qui détestent toute espèce de poésie et de vie intérieure.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.