Après Alep, la tragédie de la Ghouta déclenche une avalanche de commentaires accablant les autorités syriennes. En réaction, trois personnalités qualifiées ont jugé bon de faire entendre, dans les colonnes du *Temps*, une voix différente. Mal leur en a pris : *Le Temps* refuse de publier leur point de vue argumenté, référencé. Au nom de la liberté d’expression et de l’ouverture d’esprit, nous leur offrons volontiers l’hospitalité.
Laissons la justice faire son travail
C’est presque anecdotique, mais cela mérite quand même qu’on s’y arrête. La justice, en Suisse, vient d’ouvrir une enquête pour violation du secret professionnel à l’encontre de l’ensemble des élus masculins d’un parlement local.

