L’agent-tueur Harpon s’était donc «radicalisé». C’est ce concept de «radicalité» qui a fait basculer son crime de droit commun dans la qualification juridique du terrorisme, pris en charge par un procureur spécial. Il n’existe pourtant pas de définition pénale du «radicalisme».
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»