L’agent-tueur Harpon s’était donc «radicalisé». C’est ce concept de «radicalité» qui a fait basculer son crime de droit commun dans la qualification juridique du terrorisme, pris en charge par un procureur spécial. Il n’existe pourtant pas de définition pénale du «radicalisme».
Faux droit, vraies dévastations: les sanctions internationales
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.