Cette semaine, je vais vous parler de quelqu’un dont on ne parle jamais. Parce qu’en Suisse, la notoriété ne touche que les artistes communs, malléables et naturellement « presso-compatibles ». Bref, des créateurs spécialisés dans leur propre service après-vente et qui ont la particularité de prémâcher le travail des plumitifs de service.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.