La semaine dernière, deux pays commémoraient une singulière coïncidence : le 400e anniversaire de la mort de leurs grands écrivains, le même 23 avril 1616. L’importance accordée (ou non) à ces jubilés en dit long sur la santé desdites nations et de la population en général.
Remonter un peu dans le temps
La dévalorisation du passé, observe Éric Werner, est un trait d’époque. Elle a pour «vertu» de couper les événements de leurs causes et donc d’en interdire la compréhension. Mais dans un univers gouverné par l’idéologie, il n’y a plus rien à comprendre…