Le colonel Jacques Hogard semble sortir tout droit d’un roman de Schœndœrffer ou de Volkoff. En tant qu’officier, commandant les forces spéciales de la Légion, il a participé en première ligne aux opérations les plus délicates de l’armée Française, dans la corne de l’Afrique, au Rwanda ou au Kosovo. Sur ces deux opérations historiques, il a publié deux témoignages personnels qui contredisent frontalement les clichés et les approximations diffusés par les médias. Après l’occupation de la province serbe du Kosovo par l’OTAN, il a quitté l’armée et dirige depuis lors EPEE, une entreprise spécialisée en intelligence stratégique. Retourné à la vie civile, Jacques Hogard n’en a pas moins conservé tout son franc-parler, son courage physique et intellectuel et la lucidité de son regard. Retour d’une visite en Syrie, il nous relate les impressions qu’il en a retirées et dénonce l’erreur colossale du gouvernement français et de l’Occident à l’égard de […]
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…