Le colonel Jacques Hogard semble sortir tout droit d’un roman de Schœndœrffer ou de Volkoff. En tant qu’officier, commandant les forces spéciales de la Légion, il a participé en première ligne aux opérations les plus délicates de l’armée Française, dans la corne de l’Afrique, au Rwanda ou au Kosovo. Sur ces deux opérations historiques, il a publié deux témoignages personnels qui contredisent frontalement les clichés et les approximations diffusés par les médias. Après l’occupation de la province serbe du Kosovo par l’OTAN, il a quitté l’armée et dirige depuis lors EPEE, une entreprise spécialisée en intelligence stratégique. Retourné à la vie civile, Jacques Hogard n’en a pas moins conservé tout son franc-parler, son courage physique et intellectuel et la lucidité de son regard. Retour d’une visite en Syrie, il nous relate les impressions qu’il en a retirées et dénonce l’erreur colossale du gouvernement français et de l’Occident à l’égard de […]
Denis Pouchiline: «Nos enfants n’ont pas connu d’autre monde que la guerre»
Comment vit-on dans l’Ukraine en guerre? Nos médias de grand chemin «couvrent» abondamment la zone pro-occidentale, mais ne s’aventurent guère dans l’autre camp: le Donbass. Ils censurent même les reporters comme Anne-Laure Bonnel, Alina Lipp ou Graham Phillips qui documentent la terrible réalité que vivent ces régions où, depuis dix ans, les civils sont directement ciblés par les forces de Kiev. Guy Mettan s’y est rendu et en a rapporté un entretien avec un responsable de premier plan.