Plus de dix ans avant la création de l’Antipresse, Juan Asensio avait démarré une chronique de ce «temps des robots» qu’il poursuit aujourd’hui encore, après mille et cent semaines, sans fléchir et sans se lasser — et sous un angle précis: celui de la littérature. Enfin, de son «cadavre», vu la décomposition culturelle dont nous sommes les témoins. Si vous ne connaissez pas encore le «Stalker» (juanasensio.com), voici l’occasion de découvrir une entreprise titanesque de critique et de mémoire dont les médias de grand chemin ne vous parleront jamais.
L’«indigence médiatique», ou l’effet miroir
Les médias du système, de plus en plus marginalisés, traitent les citoyens qui se détournent de leur bonne parole d’indigents médiatiques. On se demande toutefois s’ils ne confondent pas les effets avec les causes…

