Le keisaku, dans la pratique zen, est «un instrument que le maître utilise afin de revitaliser le corps du méditant qui le demande, lui permettant de rester plein de vitalité ou de calmer son esprit». Bref, c’est le bâton du réveil. La question, en ce début d’année, n’est pas de savoir si nous allons bénéficier de ce revitalisant, mais d’où viendra la fessée.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.