Craignant de se voir traiter d’homophobe, voire de transphobe, un parlement suisse a adopté un article de loi interdisant les «thérapies de conversion» alors que le pays dispose déjà de tous les outils nécessaires pour lutter contre ces abus. Ce n’est pas seulement inutile. Pour notre avocat-chroniqueur, ce législateur dérive dangereusement: Depuis quand l’État est-il aussi médecin?
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»