Un complot à ciel ouvert et que tout le monde peut *voir* ne mérite plus réellement d’être appelé un complot. Lorsque le pouvoir en arrive à ce degré de franchise, volontaire ou non, le jeu des apparences cesse. Ne reste entre lui et ses sujets qu’une seule interface: la police.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.