Si le terrorisme consiste à terroriser autrui, la question s’impose d’elle-même: qui sont les vrais terroristes? Et par quoi sont-ils motivés, réellement?
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.