Le 16 mars dernier, j’ai participé à un débat télévisé sur l’attitude de la Suisse face à l’afflux des migrants. On m’avait prévenu avant l’émission que je serais un peu isolé dans mon « camp ». J’aurais eu de la peine à définir précisément ce qu’était mon « camp », mais on se comprenait.
«Tweet n° 1», ou la langue en apnée
Tel est le paradoxe que soulève ce livre: à l’ère de la supra-rationalité mathématique des algorithmes et des machines, où est le refuge de la conscience?