Le 16 mars dernier, j’ai participé à un débat télévisé sur l’attitude de la Suisse face à l’afflux des migrants. On m’avait prévenu avant l’émission que je serais un peu isolé dans mon « camp ». J’aurais eu de la peine à définir précisément ce qu’était mon « camp », mais on se comprenait.
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.