Comme prévu, les élections américaines ont viré à l’empoignade. Mais en ce fatidique 3 novembre, j’étais surtout affairé à faire démarrer un poële russe. Voir les convulsions de l’Occident depuis une isba perdue dans le grand Nord permet de relativiser utilement les choses.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…