La menace sanitaire s’est transformée en dystopie, en prison mentale. Pour couper les voies de retraite, on nous dissocie de la mémoire commune de l’humanité — de la culture en somme. C’est pourquoi la littérature reste l’un des meilleurs antidotes à l’aliénation.
Le journal intime: un ancrage dans la fuite du temps
Beaucoup de gens tiennent leur journal comme ils respirent, sans y penser. D’autres ne pensent même pas à le tenir. Pourtant, c’est une lettre précieuse qu’on adresse chaque jour à l’être qu’on va devenir…