Lorsque la politique sanitaire des États n’est plus déterminée par des médecins et des infectiologues, mais par des directives venant d’une organisation politico-militaire, on est fondé à s’interroger sur le statut réel desdits États. Mais on ne le fait pas. Cela pourrait conduire à des accidents de carrière. Ou de santé.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»