Le droit comme chiffon de papier
Le bien public requiert parfois qu’on mente, nécessité fait loi. Mais il ne faut pas que cela devienne une habitude. Sans quoi, nous dit Machiavel, on se complique singulièrement la vie.
Le bien public requiert parfois qu’on mente, nécessité fait loi. Mais il ne faut pas que cela devienne une habitude. Sans quoi, nous dit Machiavel, on se complique singulièrement la vie.
Il ne se passe pas une semaine sans que Nikita Mikhalkov ne fasse parler de lui dans les médias de Russie. Plus comme un maître à penser et un idéologue que comme l’acteur et le réalisateur moultes fois primé qu’il a été pendant plus de cinquante ans.
Le G7 s’est donc réuni en Bavière en ce début d’été. On se rapproche, comme nous l’avions annoncé en mai, de Berchtesgaden et le bunker de Berlin est au bout de l’étape. Les chefs des sept Etats les plus imbus d’eux-mêmes ont chaussé leurs chapeaux en fer blanc et agité leurs grelots. La bouffonnerie fut stratosphérique.
Vos dirigeants ne le savent pas encore, mais le pays qu’ils essaient de sauver n’existe déjà plus. Le bois dont ils se chauffent est déjà consumé. La monnaie dont ils vous paient était en chocolat, elle a déjà fondu. Le monde change sous leurs yeux, de manière spectaculaire et irréversible. Mais comme il n’a plus besoin d’eux, ils se gardent de vous en informer.
Echappant de justesse au peloton d’exécution, Fédor Dostoïevski a passé quatre dures années dans un bagne de la Russie tsariste. Il en a tiré l’un des témoignages humains et littéraires les plus poignants de tous les temps… mais aussi une prophétie pour le siècle suivant.
Pourquoi la caste libérale assimile-t-elle le rachat de Twitter par Elon Musk à de la haute trahison?