L’avantage de cette passe brutale et ahurissante que nous vivons, c’est qu’elle étale la réalité toute nue devant nos yeux. On est obligé de voir ce qu’on voit. Or ce qu’on voit semble surtout donner raison à Hannah Arendt.
«Les yeux sans visage» de Georges Franju
«Un film de fou sur les fous. C’est donc un film d’une beauté folle…» (Jean-Luc Godard)