«Mais dans ce coin du monde appelé Angleterre, en cette fin de siècle, il s’est produit une chose étrange et troublante. Ouvertement, au vu de tous, un conflit ancestral s’est éteint abruptement et sans bruit: l’un des deux sexes s’est soudain rendu à l’autre. Vers le début du XXe siècle, la femme s’est publiquement inclinée devant l’homme. Elle a très sérieusement, officiellement proclamé que l’homme avait eu raison depuis le début; que la taverne (ou le Parlement) était effectivement plus importante que le foyer; que la politique n’était pas (comme la femme l’avait toujours soutenu) qu’une excuse pour boire des chopes de bière, mais une déité sacrée devant laquelle les nouvelles adoratrices devaient plier le genou; que les bavards patriotes de taverne n’étaient pas seulement admirables mais encore enviables; que le débat n’était pas qu’une perte de temps, et que par conséquent les tavernes n’étaient pas qu’un gaspillage d’argent. Nous tous, […]
L’Église catholique et l’immigration
L’Église catholique romaine, en particulier sous le pontificat de François, s’est engagée en faveur de l’immigration de masse avec ardeur — mais à rebours, très probablement, d’une forte majorité de ses propres fidèles. Jusqu’où poussera-t-elle son «idéalisme pénitentiel»?