Il ne faut pas passer trop de temps au voisinage des forces mauvaises. On en est comme irradié et l’on finit au lit. Une brève maladie m’a permis, en fixant le plafond, d’y voir des visages. Et de me rappeler que toute notre histoire n’est que le reflet de ce que les hommes en font.
Le grand bouleversement de la modernité
Notre article sur l’«éternité de l’Occident» (AP463) a suscité une réaction de notre ami et correspondant Guy Mettan alors qu’il entreprenait une tournée dans ce «monde extérieur» qui se rassemble autour du BRICS. Ses observations font certainement réfléchir et nous poussent à explorer encore davantage ce sujet capital de notre époque: notre devenir d’Européens sur une planète qui, pour la première fois depuis des siècles, peut se permettre de nous ignorer…