C’est officiel désormais: votre corps ne vous appartient plus, il est à l’État ou plutôt à une caste dirigeante fanatique hantée de projets transhumanistes. C’est si énorme, si choquant, que la plupart ferment les yeux. Les lucides, eux, s’efforcent de décrire et de comprendre cette nouvelle vie dans un donjon, avec mille outils de contention.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»