Ces derniers temps, j’ai multiplié les textes «de combat». Combat contre la désinformation, le conditionnement de masse, la déculturation. Combat (dans mon autre vie de conseiller en communication) contre les étiquettes grossières qu’on nous colle pour nous classer plus aisément dans les tiroirs de basse police. Et je me suis étonné de me sentir étriqué, sec et pesant. Ceci au sens propre, avec une prise de poids considérable en quelques mois seulement.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.